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examens, cour du Carrousel) et y joindre leur acte de naissance.

Les candidats des départements sont tenus de remplir la même formalité à la mairie des villes désignées comme centres de composition.

Aucune demande ne sera reçue après la date du 20 juin.

L'Académie des beaux-arts a attribué le prix Deschaumes, d'une valeur de 1.500 francs, fondé en faveur de jeunes architectes de mérite, à MM. Chédanne, élève de M. Gaudet; Heubés, élève de M. Pascal, et Jay, élève de M. Daumet.

L'Académie des beaux-arts a à décerner le prix Desprez, d'une valeur de 1.000 francs à une œuvre de sculpture exposée au Salon de cette année. Les artistes qui désirent concourir pour ce prix n'ont qu'à adresser leur demande à l'Académie, qui fera son choix.

Le comité du cercle des Exposants, situé, 2, allées La Fayette, à Toulouse, organise dans ses salons une exposition permanente des œuvres des artistes qui, pour une raison ou pour une autre, n'auraient pas trouvé place dans les galeries de l'Exposition des beauxarts, installée dans la future Faculté des sciences.

Pour tous renseignements, s'adresser au secrétaire du Cercle des Exposants, 2, allées La Fayette.

A propos du concours pour la façade du Dôme de Milan, on nous écrit que l'on vient de choisir les 15 concurrents destinés à présenter un nouveau projet pour le choix définitif. Il y a parmi les 15: 8 Italiens, 2 Anglais, 1 Russe, 3 Allemands, 1 Français dont on ne nous dit pas le nom. Les concurrents étaient au nombre de 126. Cent ont été écartés au premier examen; des 26 restant, 11 ont été laissés de côté.

NOUVELLES

Dans le nouveau ministère, M. Spuller a été chargé de l'instruction publique, des beaux-arts et des cultes. Il n'y aura pas de sous-secrétaire d'Etat spécial aux beaux-arts.

Le Salon s'est rouvert lundi dernier, après trois jours de fermeture. La Société des Artistes français avait décidé de mettre à la disposition du comité constitué pour venir au secours des victimes de l'incendie de l'OpéraComique la recette qui serait effectuée dans la journée.

La recette s'est élevée à 17.700 francs.

A propos des récompenses du Salon, rappelons leur valeur matérielle.

Les médailles d'honneur ont une valeur de 2.000 francs, dont 1.000 francs en argent et 1.000 francs représentant la valeur intrinsèque de la médaille, qui est en or et de grand module. Les premières, deuxièmes et troisièmes médailles sont également en or et, par gradation, d'une valeur de 700,500 et 300 francs.

Indépendamment de ces médailles, dont le total coûte à la Société des Artistes environ soixante mille francs, il y a le prix du Salon et les bourses de voyage dont nous venons de parler. Le prix du Salon consiste en une somme de 8.000 francs, qui est mise à la disposition du lauréat pour faire un voyage, soit à Rome, soit dans toute autre ville rappelant des souvenirs artistiques. Enfin, les bourses de voyage, qui ont une destination analogue, mais plus spécialement pour un séjour à Rome, consistent en une somme de 4.000 francs.

Le ministre de l'instruction publique et des beaux arts vient d'autoriser l'acquisition pour la Bibliothèque nationale d'un superbe manuscrit du xive siècle. Ce sont les Commentaires de l'Enfer, de Dante, avec miniatures intercalées dans le texte et admirablement conservées.

Une controverse s'était engagée, il y a bon nombre d'années, entre la Bibliothèque nationale et le propriétaire de ce manuscrit qui prétendait posséder l'ouvrage offert a François 1er à son entrée en Italie, et passé ensuite entre les mains du Duc de La Vallière. La Bibliothèque nationale se disait, de son côté, propriétaire du manuscrit authentique.

Par suite de l'importante acquisition qu'elle vient de faire, la Bibliothèque nationale possède aujourd'hui ces deux intéressants commentaires sur la Divine Comédie. Ils différent absolument par la forme des caractères, et, de plus, les miniatures du second ouvrage n'existaient pas dans l'autre.

Les nouvelles fouilles opérées derniérement à Cherchell ont fait découvrir des statues admirablement conservées d'Hercule, de Vénus et de Jupiter. Ces statues, de dimensions colossales, ont été transportées au Musée de la ville. En ce moment, les ouvriers sont occupés à déblayer un très beau palais situé à proximité de la mer. Ils ont déjà mis à nu une vaste pièce dont le sol est formé par une mosaïque d'un beau dessin et d'une exécution très soignée. On espère trouver sur ce point de nombreuses richesses archéologiques.

L'ART ET L'ARCHÉOLOGIE AU THÉATRE

COMÉDIE-FRANÇAISE: Raymonde, Vincenette.

Le décor du premier acte de Raymonde nous semble être le même, sauf quelques modifications, qui a déjà encadré l'action d'un

petit acte intitulé la Duchesse Martin, ou quelque chose d'approchant. C'est la même entrée par une tourelle qui fait saillie dans un angle et la même fenêtre large et basse par laquelle on aperçoit la forêt, où s'engrouffre le vent d'orage, et par laquelle entre le soleil après la pluie. Car, par recherche de la vérité, une lueur blanche éclaire les personnages qui s'y penchent pour respirer la senteur de la verdeur humide.

Cette préoccupation de la forêt qui donne une saveur si particulière aux œuvres de M. André Theuriet, a réglé la composition du décor du second acte. La maison verte, ainsi nommée des plantes qui grimpent sur sa façade, s'élève à gauche d'une terrasse qui domine la forêt. Le principal corps de logis, précédé d'un perron qu'abrite une marquise, s'appuie à un petit avant-corps, plus haut que lui, et bien trop étroit pour être habitable. Il serait impossible d'y loger le moindre humain, surtout de l'y faire asseoir devant la cheminée que l'on devine à sa souche au dessus du toit. C'est un joujou. MM. Rubé et Chaperon qui ont peint ce décor d'un ton un peu rouge, ont eu le tort, selon nous, de faire un sort à chacun des arbres qui composent la forêt, et d'établir quelque confusion, à droite, entre eux et ceux qui sont plantés sur la terrasse autour et en arrière d'une volière qui ferme le décor de ce côté.

Des arbres formant une masse plus compacte, et montrant moins leurs troncs au-dessus de la balustrade qui limite la terrasse au fond, eussent donné une impression plus juste de la sensation étrange que l'on éprouve lorsqu'on domine la mer houleuse des cimes feuillues d'une forêt.

Le décor est d'ailleurs d'une composition fort originale.

Le troisième acte se passe dans la salle abandonnée d'un vieux manoir féodal qu'éclaire une fenêtre ogivale encore munie de son rideau, du XIe au XIVe siècle, et de ses vitraux par lesquels la lune envoie ses pâles clartés en un cer ain moment.

Une cheminée à vaste manteau de pierre, se dresse du côté opposé de la fenêtre, et un escalier de bois monte en arrière de l'angle de la pièce jusqu'à mi-hauteur. Un plafond garni de grosses poutrelles et fort bien porté par les murs, couvre, la pièce. Mais nous sommes forcés d'adresser quelques critiques aux décorateurs à propos de la construction du réseau de la fenêtre et du manteau de la cheminée.

Il est de règle constante que dans tout réseau, et pour ne nous occuper que du cas dont il s'agit, que lorsqu'un oculus se combine avec les deux arcs-ogives qui le portent, la moulure qui le forme se confond toujours aux endroits du contact avec celles du même profil qui dessinent ces deux ogives, et ne leur est point simplement tangente ainsi que l'ont fait MM. Rubé et Chaperon. Il en est de même partout, dans tous les cas et à toutes les époques. La Sainte-Chapelle et NotreDame ne sont pas si loin pour que l'on ne puisse y aller voir.

Nous ne nous arrêterons pas à la perspec

tive un peu arbitraire des deux pieds-droits qui encadrent l'âtre de la cheminée, mais nous avouerons n'avoir jamais vu que le chambranle qu'ils portent soit interrompu à chacun de ses angles par un motif saillant qui encadre le front de ce chambranle et le manteau qui le surmonte. Il serait impossible qu'une cheminée ainsi construite en pierre tint en place.

Pour Vincenette MM. Rubé et Chaperon ont peint un excellent décor tout ensoleillé qui donne bien l'impression du temps de la moisson en Provence.

Un vaste hangar, dont les charpentes en bois brut sont garnies de clayonnages, abrite la scène où sont engerbés quelques tonneaux. L'on aperçoit le ciel bleu par un trou dans le toit au-dessous duquel une toile blanche est tendue, dont l'effet de trompe-l'oeil est éton

nant.

Une galerie de même construction que le hangar le longe intérieurement et obliquement à gauche, empiétant sur la grande ouverture qui, au fond, laisse apercevoir la piaine.

Au premier plan un massif de maçonnerie. porte l'axe des deux longs balanciers de bois qui servent à puiser l'eau dans le puits; un massif de mûriers, à droite, encadre les guérets couverts de blés murs et en partie fauchés. Quelques pâles oliviers sont disséminés de place en place, avec un ou deux mas blancs sous leurs toits de tuiles rouges tout au fond.

La partie sombre des constructions de bois des premiers plans fait valoir les colorations chaudes de cette toile de fond, et nous transporte réellement au pays des cigales et des cigaliers. Ces derniers, pour plus de couleur locale, portent le caban brun sur l'épaule. Ils doivent avoir terriblement chaud.

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L 25 congrès des Sociétés savantes s'est ouvert à la Sorbonne, sous la présidence de M. Léopold Delisle, désigné par le ministre de l'instruction publique. Sur l'estrade avaient pris place, outre M. Gréard, les présidents et vice-présidents des cinq sections.

En même temps que les diverses sociétés savantes, les Sociétés des Beaux-Arts des départements tiennent à la salle Gerson leur onzième réunion annuelle.

C'était M. Kaempfen, directeur des beaux-arts qui présidait la séance.

En prenant place au fauteuil présidentiel, M. Kaempfen a prononcé une courte allocution dans laquelle il a souhaité, au nom du gouvernement, une cordiale bienvenue aux délégués, les félicitant des travaux auxquels ils se sont livrés. Il s'est plu à reconnaître qu'ils ont contribué pour une large part à former une bibliothèque artisti

que où revivent bien des figures oubliées, où sont décrites et louées comme elles méritent de l'être des œuvres à peine connucs jusqu'ici de quelques

uns.

« Je vous conviais un jour, a ajouté M. Kaempfen, à ne point vous enfermer dans des limites trop étroites, à ne pas vous interdire les vastes horizons, à oser davantage, à traiter plus souvent des questions auxquelles ne s'intéresse pas seulement ce que j'appellerai le patriotisme local, mais qui importent à tous ceux qui ont l'intelligence et l'amour des choses de l'art, la passion de ce qui est une partie, non la moindre, de notre gloire uationale.

« Vous avez vraiment comblé cette fois les vœux que j'exprimais devant vous; laissez-moi vous en remercier bien haut, »>

Plusieurs délégués ont alors commencé le lecture de documents et de mémoires dont plusieurs présentent un réel intérêt.

Enfin, les délégués de province étaient conviés par leurs collègues de Paris à inaugurer avec eux l'hôtel que les Sociétés parisiennes viennent d'acquérir rue des Poitevins et qui est, comme on sait, l'ancien hôtel Panckoucke. Plusieurs toats ont été improvisés par M. de Lesseps, toujours jeune et alerte, par MM. de Quatrefages et Rochard, de l'Institut, par le docteur Després, conseiller municipal. On a bu à la patrie, à la science, à la diffusion des lumières en province, à leur concentration à Paris, à l'avenir du nouveau cercle et à l'heureuse initiative de ses créateurs.

(A suivre).

Société nationale des Antiquaires de France

Séance du 25 mai

M. Frossard lit une note sur les fouilles exécutées récemment dans la nécropole de Carmona, près de Séville.

M. Monat communique, de la part de M. Lafaye, une note sur les sculptures et les inscriptions découvertes en Corse.

M. Courajod énumère divers objets récemment acquis par le Musée du Louvre, section des monuments de la Renaissance et du moyen âge; il invite les membres de la Société à venir en prendre connaissance.

M. Ravaisson-Mollien présente quelques observations sur un Vitellius ep buste, du Musée du Louvre, faussement réputé antique.

M. Babelon annonce à la Société que le cabinet des médailles vient de faire l'acquisition de deux cachets d'oculiste et d'une pierre gnostique portant le nom et l'image du dieu serpent Glycon.

ACADÉMIE DES INSCRIPTIONS

Séance du 27 mai

Antiquités de Cherchell. M. G. Perrot communique une note de M. Victor Waille, professeur à l'Ecole supérieure des lettres d'Alger, rendant compte des fouilles qu'il continuait à Cherchell, sur l'emplacement présumé du palais des rois de Mauritanie. Eu égard à l'exiguïté des res

sources dont il dispose, on ne saurait contester à M. Waille l'importance des résultats obtenus jusqu'ici. Les trouvailles récentes consistent en une mosaïque considérable, non encore complètement déblayée et qui devait mesurer environ 32 mètres de longueur; un dallage d'onyx: des escaliers revêtus de marbre; un torse de Diane chasseresse, haut de 0, 70, morceau d'un bon styte et d'une belle matière; une tête de marbre collossale (haute de om, 90) et qu'à certaines traces on reconnaît comme ayant servi à la décoration architecturale d'un édifice; le nez est martelé, comme celui de toutes les statues découvertes à Cherchell; cette mutilation, accomplie systématiquement, est sans doute l'œuvre des trihus révoltées ou de quelque secte chrétienne iconoclaste.

Parmi les antiquités mises au jour, citons encore un mortier de granit, un pilier quadrangulaire sculpté, sur lequel on voit représentés des rameaux avec des oiseaux; deux fragments d'inscription; l'une est une dédicace de la femme d'un flamine, l'autre donne le nom d'un magistrat qui semble avoir présidé à la restauration de l'édifice.

M. Waille termine en adressant des remerciements au général Poizat, dont le bienveillant concours a facilité les explorations; au docteur Meshude et au capitaine Boutron d'Amazz, dont la collaboration lui a été précieuse.

Le clichage des estampages épigraphiques. M. Clermont-Ganneau expose un procédé de reproduction des estampages qui rend transportable, maniable et solide la copie très fidèle du moment original. L'empreinte de ce monument est prise, comme on sait, au moyen d'une simple feuille de papier non collé; il suffit, en outre, d'avoir à sa disposition une brosse et un peu d'eau. On obtient ainsi un moule supérieur en fidélité à toute copie ou au meilleur dessin, supérieur à la photographie elle-même, qui ne donne du texte qu'un seul aspect souvent trompeur et insuffisant pour le déchiffrement. Mais cette feuille de papier gaufré a l'inconvenient de présenter ses lettres à l'envers et en relief; elle est fragile et exposée à des accidents irréparables; elle se prête mal aux reproductions héliographiques et ne saurait fournir d'autres empreintes. On a vainement cherché jusqu'à ce jour le moyen pratique de surmouler les estampages de façon à obtenir, sans les altérer, une contre-épreuve fidèle sur une matière solide, inaltérable, présentant l'inscription dans son sens et avec son creux normal, permettant enfin d'en multiplier d'une manière indéfinie les exemplaires par les procécés ordinaires du clichage. C'est ce moyen que M. Clermont-Ganneaux a réalisé en coulant directement, sous une pression convenable, du métal d'imprimerie en fusion sur les estampages. Il obtient ainsi des matrices métalliques, équivalentes exactes et indestructibles des inscriptions originales. Ce procédé rendra de grands services dans l'enseignement : le maître pourra avoir entre les mains et mettre sous les yeux de ses auditeurs la série des monuments qu'il aura à étudier ou à invoquer. La collection de ces clichés épigraphiques aura toute son importance le jour où l'on se décidera à créer un établissement rendu nécessaire pour les besoins et les progrès croissants de la science, le Muséum épigraphique.

BIBLIOGRAPHIE

Les Françaises du XVIIe siècle : Portraits gravés, par MM. le marquis de Granges de Surgères et Gustave Bourcard. Préface par M. le baron Roger Portalis. Paris, Dentu, 1 vol. in-8°, 1887. Nous avons signalé, en son temps, l'intéressant travail que M. Gustave Bourcard avait consacré aux estampes française du XVIe siècle. Le même auteur, poursuivant ses recherches à travers le siècle galant, vient de cataloguer, avec la collaboration de M. le marquis de Granges de Surgères, et pour le plus grand profit et plaisir des curieux, les portraits de femine gravés pendant le cours de ce siècle.

Cet ouvrage répond bien à un mouvement de la mode. «De toutes les collections, comme le dit dans sa préface notre collaborateur M. le baron Roger Portalis, la plus séduisante est sans contredit une collection de portraits de femme ». Heureux, en vérité, les amateurs qui ont réuni dans leurs portefeuilles les portraits gravés de toutes ces originales, piquantes ou simplement aimables figures de femme dont la réunion fait revivre une des plus charmantes époques de notre bistoire.

Même à côté de l'école anglaise qui reste par excellence la traductrice des élégances féminines, notre école a produit tout un monde d'artistes délicats et habiles, peintres et graveurs,- depuis les Rigaud, les Largillière, les Coypel, les Lancret, les Pater, les Watteau, les Nattier, les Van Loo, les Drouais, les Tournières, les La Tour, jusqu'aux Roslin, aux Vestier, aux Fragonard, aux Vigée Le Brun et aux Prud'hon; depuis les Drevet, les Cochin, les Saint-Aubin, les Gaucher, les de Launay, les Le Mire, jusqu'aux Moreau, aux Danlie et aux Copi", - qui se sont voués pour ainsi dire aux grâces du beau sexe.

Les auteurs des Françaises du xvin siècle n'ont pas voulu faire une iconographie complète, mais ils ont tenté de présenter, comme en une gerbe de fleurs choisies, tous les portraits de valeur, tous ceux que recommandent soit la qualité de la personne représentée, soit le mérite intrinsèque de l'œuvre d'art. Le résultat de leurs recherches et de leurs patients efforts méritera l'eloge de tous les connaisse.rs.

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Les Compagnies des Chemins de fer de l'Est et de Paris-Lyon-Méditerranée délivrent aux touristes qui désirent visiter la Suisse centrale, l'Oberland-Bernois et le Lac de Genève, des billets à prix réduits, valables pendant trente ou soixante jours, avec franchise de 25 kilogr. de bagages.

Les principaux points de l'itinéraire sont : Paris, Belfort, Bâle, Olten, Lucerne, Alpnach, Brienz (Giessbach), Interlaken, Thoune, Berne, Fribourg, Lausanne, Genève, Culoz et Paris.

Cet intéressant voyage peut s'effectuer indifféremment en partant par la ligne de l'Est (Belfort-Delle-Bâle ou Belfort-Mulhouse-Bâle,) et en revenant par celle de Lyon, ou bien dans le sens inverse.

La délivrance des billets a lieu, à Paris, aux gares et aux bureaux succursales des chemins de fer de l'Est et de Lyon, aux prix suivants : Billets valables pendant 30 jours: 1re classe, 152 fr. 95; 2 classe, 119 fr. 35.

Billets valables pendant 60 jours: 1re classe, 166 fr. 40 2e classe, 129 fr. 50.

No d'ordre

du Catalogue

184

LA CHRONIQUE DES ARTS ET DE LA CURIOSITÉ

GRAVURES DE FERDINAND GAILLARD

En vente aux Bureaux de la Gazette des Beaux-Arts

PEINTRES

SUJETS

PRIX DES ÉPREUVES

Avant la lettre

Avec la lettre

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Les prix indiqués ci-dessus annulent ceux portés au précédent catalogue.

LA TABLE ALPHABÉTIQUE

ET ANALYTIQUE

DE LA

GAZETTE DES BEAUX-ARTS

1re Partie de la deuxième période (1869-1880 compris)

Par M. Henry JOUIN

EST EN VENTE AU BUREAU DE LA REVUE

Nous rappelons que cette table a été tirée à petit nombre

Prix: 15 francs l'exemplaire broché

Le port en sus pour la province et l'étranger. Pour recevoir le volume franco en province, adresser un mandat de 17 francs à l'Administrateur de la Gazette des Beaux-Arts.

Le Rédacteur en chef, gérant: LOUIS GONSE.

Grande Imprimerie, 19, rue du Croissant, Paris. - J. Cusset, imp.

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