Thy voice, thy features his charm 1 Be broke, till Hengift's will its powers dis arm." His alter'd mien, as now the Saxon knight A cloud-form'd car, impatient of delay, Whilft loud around the winds tempestuous roar. No time is theirs to mark each lovely view, breaft. Now o'er the foaming main their way they pear. And now the rocks of Albion meet their eyes, As on th' horizon's verge grew mifts arife. Valdandi there the gloomy warrior leaves; And t'ward the lone abode its foot fteps gui des. Anhang Anhang 734 den H eroiden. S. 241. Dourrigne'. Da der Naum es erlaubt, so mag hier noch folgende freie französische Uebersehung oder Nachahmung der oben mitgetheilten Heroide Ovid's stehen, um sie sowohl mit dem Original, als mit der italidnischen Uebersegung, zus sammen zu halten. Ihr Verfaffer ist Sebastien Marie, Gazon Deurrigne', von dem man auch eine französische Uebersehung von Rapin's lateinischem Lehrgedicht, die Gärs ten, hat. Er schrieb noch verschiedne andre Heroiden, z. B. Dido an Aeneas, Heloise an Abelard, Phyllis an Des mophoon, und Penelope an Ulyffes; die beiden lchtern gleichfalls nach dem Ovid. ARIANE à THESÉE. NoN, il ne fut jamais Amant traître et fans foi, De tigre plus féroce et plus cruel que toi. Dourrigne Dourrigne', Lis cette Lettre, ingrat; elle t'eft adreffée, Les rayons de l'Aurore éclatoient dans les " re, Préoccupée encor d'un fonge plein d'appas, # Je cherche à mes cotés l'objet de ma tendreffe; Je me leve auffi-tôt furprise de ta fuite; Un mouvement plus doux fuccédant à ma ra ge, Après avoir des yeux parcouru le rivage, Le fable en vain s'oppose à ma course rapide. L'Echo L'Echo même touché de ma douleur extrême, me; Et plus que toi fenfible à mes gémissemens, LA, d'un mont dont la cime eft presque inabor- Pendoit en précipice un roc inébranlable; ce, Entraîne un vent propice à ta lâche inconftance. Soir que je l'euffe vu, foit que mes fens trom pés Par une illufion fuffent alors frappés, A cet afpect funefte un froid mortel me glace: ce, Par de nouveaux accens j'implorois ton fecours, mes; Et trop d'espace enfin te féparant de moi, CEPENDANT ton Vaiffeau disparut, et mes S'occuperent long-tems à pleurer en ces lieux: fcrire, Loin du parjure Amant qui caufoit mon marty re? Tan Dourrigne'. |