Histoire de la Restauration et des causes qui ont amené la chute de la branche aînée des Bourbons, 5. köideDuféy et Vezard, 1832 - 412 pages |
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actes administration affaires Aix-la-Chapelle alliés arrêté avaient Baring Beugnot Blacas Bourbons budget c'était cabinet Camille-Jordan Castelbajac cazes cent-jours centre gauche chambre de 1815 chambre des députés chambre des pairs charte colléges commission comte concessions concordat conférences conseil d'Etat constitutionnelle Corvetto cours crédit Decazes départemens devait discussion doctrinaires duc de Feltre duc de Richelieu duc de Wellington également électeurs élections électorale engagemens esprit fraction gouver gouvernement Gouvion-Saint-Cyr hommes idées indépendans intérêts J'ai journaux l'administration l'armée l'emprunt l'esprit l'Europe l'opinion l'opposition l'ordonnance Laffitte Lainé légitimité libéral liberté lois d'exception Louis XVIII Majesté majorité maréchal ment millions ministérielle ministre modération monarchie n'avait n'était nation négociations nement nistère opinions parlementaire Pasquier pensée politique position pouvait pouvoir préfets presse prince principes projet de loi Prusse puissances question recrutement rente restauration résultat révolution royaliste Royer-Collard Russie s'était septembre serait session seul situation souverains système tion traité du 20 tribune Villèle vote voulait
Popular passages
Page 383 - ... diplomatiques, et que, dans le cas où ces réunions auraient pour objet des affaires spécialement liées aux intérêts des autres...
Page 384 - Calme et constante dans son action, elle n'a pour but que le maintien de la paix et la garantie des transactions qui l'ont fondée et consolidée. Les souverains, en formant cette union auguste, ont regardé comme...
Page 381 - France et les puissances co-signataires du traité de paix du 20 novembre 1815, rapports qui, en assurant à la France la place qui lui appartient dans le système de l'Europe, la lieront étroitement aux vues pacifiques et bienveillantes que partagent tous les souverains et consolideront ainsi la tranquillité générale.
Page 382 - Que la France, associée aux autres Puissances par la restauration du pouvoir monarchique, légitime et constitutionnel, s'engage à concourir désormais au maintien et à l'affermissement d'un système qui a donné la paix à l'Europe et qui seul peut en assurer la durée...
Page 283 - France, et, pour me renfermer dans ce qui me concerne directement, il s'agit de savoir si nous appellerons encore à la défense de la patrie les soldats qui ont fait sa gloire, ou si nous les déclarerons à jamais dangereux pour son repos. Ce dernier arrêt serait...
Page 373 - Cie, lesquelles, de même que les inscriptions de rente mentionnées à l'article ci-dessus, seront délivrées aux Commissaires des Cours d'Autriche, de la Grande-Bretagne, de Prusse et de Russie, par le Trésor Royal de France, à l'époque de...
Page 383 - Que si, pour mieux atteindre le but ci-dessus énoncé, les puissances qui ont concouru au présent acte jugeaient nécessaire d'établir des réunions particulières , soit entre les augustes souverains eux-mêmes, soit entre leurs ministres et plénipotentiaires respectifs, pour y traiter en commun de leurs propres intérêts, en tant qu'ils se rapportent à l'objet de leurs délibérations actuelles , l'époque et l'endroit de ces réunions seront , chaque fois, préalablement arrêtés au moyen...
Page 372 - J'ai assez vécu , M. de Richelieu, puisque j'ai vu la France libre , et le drapeau français flotter sur toutes les villes françaises.
Page 359 - États, la résolution qu'ils ont prise de décliner toute ouverture contraire qui pourrait leur être adressée à cet égard , et de n'admettre aucun plénipotentiaire qui serait envoyé au lieu destiné pour leur réunion. En usant d'un droit qui leur est exclusivement réservé par le traité de...
Page 378 - ... résolution. Ils regardent cet acte solennel comme le complément de la paix générale. Considérant maintenant comme le premier de leurs devoirs celui de conserver à leurs peuples les bienfaits que cette paix leur assure , et de maintenir dans leur intégrité les transactions qui l'ont fondée et consolidée, LL.