Dissertations sur l'union de la religion, de la morale et de la politique, 2. köideChez Guillaume Darrés, 1742 - 425 pages |
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Common terms and phrases
Acad ainfi aît aliance ames apelle auffi autem avoient avoit c'eft c'eſt caufe chofes Cicéron conféquence connoiffance culte Dieu Dieux diférentes differtation diftinction Diodore de Sicile divine dogme des peines ecclefiæ ecclefiaftica écléfiaftiques éfet effe efprits Egyptiens enfeigné enim epifcopis eſt etiam étoient étoit éxemple falut fans fauroit fecond fecrete fecte fens fentimens fentiment feroit fervir feulement fiences fimple fociété civile fociété religieufe foin foit font fous foutenir fouvent fuam fubftance fuivant fujet funt fupofe Gallicane gion Grecs hæc hommes imperium inftitutions ipfa jufte l'ame l'éfet l'efprit l'Eglife l'Etat Lactance Légiflateurs loix lorfque magiftrat maniere Marca ment Métempfychofe myfteres n'eft n'étoit nature néceffaire nifi nihil obferver paffage paffions paroit particuliere payens perfonne peuple Philofophes Platon plufieurs poffe poteft poteftates prémier prémiere principes Pythagore quæ quam quidem quod raifon raporte récompenfes religion religions Socrate Stoïciens Strabon tems tion ufage univerfelle
Popular passages
Page 325 - ... en même temps aux ministres de la religion prétendue réformée le prétexte qu'ils prennent des livres de quelques auteurs pour rendre odieuse la puissance légitime du chef visible de l'église et du centre de l'unité ecclésiastique.
Page 213 - Que l'on jette les yeux fur tous les codes & les digeftes > à chaque action criminelle eft défigné fon châtiment ; non en tant qu'elle eft vice ou qu'elle s'éloigne des regles éternelles du jufte ou de l'injufte...
Page 76 - Les poètes donnant carrière à leur imagination , ont voulu nous épouvanter par de vaincs frayeurs : mais la mort eft la fin de toute douleur , le terme de tous les maux; elle nous remet dans la même tranquillité où nous étions avant que de naître.
Page 223 - ... fondé fur l'alliance libre & volontaire qui fe fait entre la puiffance eccléfiaftique, pour l'avantage réciproque de l'un & de l'autre. Or, en conféquence de cette alliance , les deux fociétés fe prêtent en certaines occafions une grande partie de leur pouvoir ; & il arrive même quelquefois qu'elles en abufent réciproquement. Les hommes jugeant par les faits , fans remonter à leur caufe & à leur origine , ont cru que la fociété civile avoit par fon effence , un pouvoir qu'elle n'a...
Page 23 - ... d'expliquer les prétendues vérités cachées fous l'enveloppe de ces fables , mais pour tourner au bien du peuple les fruits mêmes de la folie & de fes préjugés.
Page 236 - ... et les tribunaux la doivent aux villes ou aux États qui les ont créés. Ces différentes sociétés, autant par la conformité de leurs fins et de leurs moyens , que par leurs chartres, ou leurs lettres de création ou d'érection, trahissent elles-mêmes, et manifestent leur origine et leur dépendance.
Page 9 - ... polished, and refined part of mankind ; so far are they from the mere simplicity of babes and sucklings, that, instead of applying the notion of a future reward or punishment to...
Page 373 - ... and fucceeding emperors, ran wholly into pomp, and was fupported chiefly by that fort of Enthufiafm , which is raifed from the external objects of grandeur, majcfty, and what we call auguft".
Page 8 - Polybe les avertit qu'ils ne doivent pas chercher la caufe de la décadencé de la Grèce dans la mutabilité inévitable des chofes humaines , mais qu'ils doivent l'attribuer à la corruption des mœurs , introduite par le libertinage de l'efprit. Ce fut cette corruption qui...
Page 21 - L'autorité de, Plutarque confirme la même chofe. » Les rois , dit-il, étoient choifis parmi les » prêtres ou parmi les hommes de guerre. Ces ,> deux états étoient honorés & refpeftés , l'un...