Mémoires de la dsse. de Brancas: suivis de la correspondance de mme. de Chateauroux et de̕xtraits des Mémoires pour servir à lh̕istoire de PerseLibrairie des bibliophiles, 1890 - 233 pages |
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Adieu aime août assure auroit avez avoit avril c'étoit cardinal Cha-Séphi cher oncle Choisy chose cœur comte cour crois d'Argenson d'Ayen dame du palais Dangeau Dauphin dire disoit duc d'Aiguillon duc d'Ayen duc de Brancas duc de Lauraguais duc de Richelieu duc de Villars duchesse de Brancas duchesse de Châteauroux duchesse de Villars duchesse du Maine épousé êtes étoient étoit fâchée faisoit falloit favorite femme fille fils Fleury j'ai janvier l'armée l'évêque lettre lieutenant général Louis XV Luynes m'en Madame de Brancas mander maréchal de Noailles maréchal de Villeroi mari mariage mariée marquis marquise Maurepas Mémoires de Madame Metz ministre Mlle de Moras Mme de Brancas Mme de Châteauroux Mme de Flavacourt Mme de Mailly Mme de Mazarin mourut n'avoit n'en novembre octobre parler paroît pense plaisir pouvoit prince princesse raison régent reine Rétima rien Saint-Simon sais savez septembre sera seroit sœur Soissons Soulavie Tencin tenoit Tournelle Versailles
Popular passages
Page 179 - Paris, * et je ne puis vous rendre l'ivresse des bons Parisiens. Tout « injustes qu'ils sont pour moi , je ne puis m'empêcher de les » aimer à cause de leur amour pour le roi. Ils lui ont donné • le nom de BIEN-AIMÉ , et ce titre efface tous leurs torts
Page 135 - France ne se repentira jamais du pas qu'il vient de faire, et que toutes les parties contractantes y trouveront un avantage égal. Il est fâcheux que la Prusse soit obligée d'ignorer l'obligation qu'elle vous a; ce sentiment restera cependant profondément gravé dans mon cœur. C'est ce que je vous prie de croire, étant à jamais, Madame, votre très affectionné ami, FRÉDÉRIC.
Page 75 - ... à fond. Je vous suis obligée de m'avoir dit ce que vous en pensiez, j'aime à être décidée par vous : je ferai en sorte de la voir , et le roi de Prusse fera Je sujet de la conversation, si tant est qu'elle daigne m'écoutcr ; car je crois que je lui paraîtrai fort sotte.
Page 200 - Comus était l'ordonnateur de ces fêtes, Momus y présidait ; il n'était permis à aucun esclave d'oser troubler ces augustes cérémonies, ni d'entrer dans l'intérieur du temple qu'au moment que les prêtres et les prêtresses, comblés enfin des faveurs divines, tombaient dans une extase, dont la plénitude prouvait la grandeur de leur zèle et annonçait la présence des dieux. Alors tout était consommé; on enlevait avec respect ces favoris des dieux et l'on fermait les portes du temple......
Page xxvi - Lui et sa femme, sans estime réciproque, qu'en effet ils ne pouvoient avoir, vivoient fort bien ensemble, dans une entière et réciproque liberté dont elle usoit avec aussi peu de ménagement de sa part que le mari de la sienne, qui le trouvoit fort bon, et en parloit même indifféremment quelquefois et jusqu'à elle-même devant le monde, et l'un et l'autre sans le moindre embarras. Mais elle étoit méchante, adroite, insinuante, intéressée comme une crasse de sa sorte, ambitieuse, avec cela...
Page 80 - Réellement elle s'est portée de si bonne grace à tout ce que je lui disais , et si aise de trouver occasion, de faire plaisir , que j'aurais voulu que vous fussiez témoin de notre conversation : si vous la connaissiez autant que moi , vous l'aimeriez à la folie ; elle a mille bonnes qualités et une façon d'obliger singulière. Que tout ceci ne vous passe pas , et remarquez qu'en femme prudente je ne vous écris pas par la poste : on y lit les lettres fort ordinairement. Après que vous vous...
Page 79 - ... occasion m'aurait surprise; mais je trouve que l'on parle toujours bien quand on soutient une bonne cause, et surtout quand cela regarde quelqu'un à qui on s'intéresse; enfin j'ai parlé et persuadé : je suis parfaitement contente de cette réponse. Elle m'a promis de parler; je ne mets pas en doute qu'à son tour elle persuadera : je lui ai fait de grandes avances de la part de M. de Forcalquier, et l'ai assurée que s'il ne l'avait point encore vue chez elle, c'est qu'il n'avait osé.
Page 28 - Ah ! si vous saviez combien il était nécessaire que Mme de Mailly eût le cœur du Roi, combien il serait funeste de le lui enlever, combien il faut le lui conserver, combien la Maréchale...
Page 109 - Cette lettre est du 11 septembre 1743. regarde, et vous pouvez être assurée que, lorsque vous me ferez l'honneur de me demander conseil, je ne vous en donnerai jamais qui ne tendent à la gloire du Roi, et qui par conséquent ne soient les plus conformes à vos véritables intérêts. Je ne crois pas, madame, que vous puissiez suivre le Roi à l'armée avec madame votre sœur.
Page xxxiv - L'une est presque en oubli, l'autre presque en poussière; La troisième est en pied ; la quatrième attend Pour faire place à la dernière. Choisir une famille entière , Est-ce être infidèle ou constant (i)?