Histoire naturelle de la femme, suivie d'un traité d'hygiène, 1. köide,2. osa |
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affections âge agréable aimable amour angle facial assez beauté bizarres bonheur Buffon carac caractère cérémonies changemens charmes circoncision circonstances civilisation climat conjugal constitution coquetterie Corinthe cosmétique courtisanes coutume Darfour desirs développement différentes dispositions diverses Égypte enfans époque épouse époux femmes force forme général goût graces Grecs habitudes Hétaires heureux hommes Hottentots inceste jeunes filles Kamtchadales l'amour l'amour du jeu L'Aum l'esprit l'homme l'hymen l'organisation long-tems loppement maladies manière mari mariage marier menstruation ment mère mobilité mœurs mongolique moral mouvemens nations nature naturelle nerveuse observations ordinairement organes Orou Otaïti Otaïtiennes paraissent parens particulière passions peau penchans pendant petites filles peuples philosophe physionomie physique plaisir plaisirs polygamie première présente presque principalement puberté pudeur quatrième âge quelquefois race rapports regards remar remarque sauvages sensibilité sentimens sentiment seulement sexe Sonnini souvent suivant sur-tout systême système d'organes Tartares teint tempéramens tempérament tems tion traits usage utérine variétés vestales vitalité Voyage voyageurs yeux
Popular passages
Page 487 - La jeune fille laissa tomber négligemment un pagne qui la couvrait, et parut aux yeux de tous telle que Vénus se fit voir au berger phrygien : elle en avait la forme céleste.
Page 581 - J'ai vu une femme honnête frissonner d'horreur à l'approche de son époux ; je l'ai vue se plonger dans le bain, et ne se croire jamais assez lavée de la souillure du devoir.
Page 636 - Quand de Claude assoupi la nuit ferme les yeux. D'un obscur vêtement sa femme enveloppée, Seule avec une esclave, et dans l'ombre échappée, Préfère à ce palais tout plein de ses aïeux Des plus viles Phrynés le repaire odieux. Pour y mieux avilir le sang qu'elle profane, Elle emprunte à dessein un nom de courtisane : Son nom est Lycisca.
Page 714 - Avec des instruments plus fins, elles manient plus aisément un cœur malade ; elles le reposent, et l'empêchent de sentir ses agitations. Elles savent surtout donner du prix à mille choses qui n'en auraient pas.
Page 678 - N'attendez rien de pareil d'un homme. La femme porte au dedans d'ellemême un organe susceptible de 'spasmes terribles, disposant d'elle, et suscitant dans son imagination des fantômes de toute espèce. C'est dans le délire hystérique qu'elle revient sur le passé, qu'elle s'élance dans l'avenir, que tous les temps lui sont présents. C'est de l'organe propre à son sexe que partent toutes ses idées extraordinaires.
Page 609 - Aussi est ce une espèce d'inceste d'aller employer à ce parentage vénérable et sacré les efforts et les extravagances de la licence amoureuse, comme il me semble avoir di& ailleurs1.
Page 499 - Au reste, tandis qu'en Europe les femmes se peignent en rouge les joues, celles de Taïti se peignent d'un bleu foncé les reins et les fesses; c'est une parure et en même temps une marque de distinction. Les hommes...
Page 684 - FEMMES. volité de ses fonctions tient son regard sans cesse attaché. Ce point s'étend sans mesure ; et , pour devenir folle , il ne manquerait à la femme passionnée que l'entière solitude qu'elle recherche.
Page 581 - Moins maîtresses de leurs sens que nous, la récompense en est moins prompte et moins sûre pour elles. Cent fois leur attente est trompée. Organisées tout au contraire de nous, le mobile qui sollicite en elles la volupté est si délicat, et la source en est si éloignée, qu'il n'est pas extraordinaire qu'elle ne vienne point ou qu'elle s'égare.
Page 396 - La lune fait aimer ses rayons favorables : Les filles en ce temps goûtent peu le sommeil. Isabelle, inquiète, en secret agitée, Et de ses dix-sept ans doucement tourmentée, Respirait dans la nuit sous un ombrage frais, En ignorait l'usage, et s'étendait auprès; Sans savoir l'admirer regardait la nature; Puis se levait, allait, marchait à l'aventure, Sans dessein, sans objet qui pût l'intéresser; Ne pensant point encore, et cherchant à penser. Elle entendit du bruit au boudoir de sa mère:...