de voir les spectateurs français mis à même | geant, très-mobile, très-capricieux, et son de juger son œuvre en premier ressort. humeur était singulièrement fantasque. Quoi qu'il en soit, nous pouvons, quant Entre autres choses, il ne se trouvait jaà présent, constater l'excellent effet pro- mais bien logé. Au moment où il sonduit par la reprise du Roi de Lahore à geait à la symphonie avec chœurs, il l'Opa. Les belles pages de cette porti- avait quit é Vienne pour se fixer dans le tion noble et élégante ent retrové les pe it village de Baden, situé auprès de symp this qu'elles s'étaient acquises dès cette ville, y avait suco ssivement ocle premier jour, et les audirents ne leur cusé plusieurs appartements, puis s'en ont pas ménagé les applaudissements. La était allé non loin de là, à Hetzendorf. distribution n'a guère é é modifiés, et les Mais bientôt il voulut retourner à Baden, trois rols principaux sont toujours tenus où il croyait être mieux pour travailler à par M de Reszké, aussi belle à voir qu'elle son œuvre nouvelle, et il écrivit à son est boule à entendre, par M. Las alle, dout ami Schindler de le venir prendre un la vox si pure et si bien timbrée est tou- matin, à cin heures, afin de l'accompajours conduite avec un art si parfait, et gner dans la recherche d'un logement par M. Salomon, qui n'est pas exempt qu'il voulait trouver en ce village. parfois de quelques daillances. L'exécu SCIENCES, LITTÉRATURE tion d'ensemble est d'ailleurs excellente, BEAUX-ARTS REVUE MUSICALE OPERA. Reprise du Roi de Lahore, de M. J. Mas La senet. SOCIÉTÉ DES CONCERTS DU CONSERVATOIRE. Symphonie avec chœurs, de Beethoven. PUBLICATIONS NOUVELLES. L'Art du chef d'orchestre, par M. E. Deldevez (Paris, Firmin-Didot, 1 vol. in-8°). et les masses chorales et instrumentales font preuve d'une précision, d'une énergie et d'une assurance dont l'honneur revient en partie à l'excellent chef d'orchestre de l'Opéra, M. Lamoureux, un artiste vraiment hors ligne et dont on ne saurait aujourd'hui trouver l'égal. « Cette excursion de Hetzendorf à Ba den, dit Schindler dans son Hintoire de la vie et de l'œuvre de Beethoven, fut une de celles qui me divertirent le plus, à cause du caractère singulier de Beethoven. D'abord, il commença à repasser dans sa tête les incommodités des appartements qu'il avait déjà occupés. Un seul réunissait toutes les conditions voulues; mais le propriétaire ne se souciait pas de le louer à Beethoven. Déjà il avait reçu plusieurs déclarations semblables des habitants de Baden. Il me pria done de lui servir d'intermédiaire, de me rendre à la maison désignée et de promettre, en son nom, plus d'ordre et plus de convenances vis-à-vis des autres locataires ( c'était Quant à la mise en scène, il est presque superflu de rappeler sa splendeur et que superflu de rappeler sa splendeur et sa magnificence. Les décors sont de toute beauté, et il faut surtout citer le tableau du désert, si saisissant, peint par M. Chéret, et celui du paralis d'Indra, dû à M. J.-B. Lavastre. Mais ce qui est particulièrement merveilleux, ce sont les costumes, dont tous les dessins ont été four-là in-nis par M. Lacaste, une ariste à la fois studieux et original, dont le goût exquis est à la hauteur du talent, et qui opère de véritables pro liges; à une exactitude scrupuleuse, M. Lacaste joint une rare abon-chez dance d'imagination, et il sat allier l'été gance de la forme, l'harmonie des tons et la richesse des ornements, de façon à produire les résultats les plus surpre nants. Je n'en veux pour preuve que le délicieux ballet du paradis d'Indra, et l'incomparable cortège du roi, au quatrième acte. Après une série de quarante repré-entations, et par suite de circonstances dépendantes de la volonté de la direction et des auteurs, le Roi de Lahore avait disparu de l'affiche de l'Opéra. L'œuvre si mâle, si vivante et si intéressante de M. Massenet vient de reprendre au répertoire la place qui lui est due, et elle reparaît sur notre scène lyrique avec le prestige des grands succès qui l'ont accueillie sur differents théâtres étrangers, entre autres à Rome, à Turin, à Pesth, à Venise, à Milan, à Vienne, à Bologne et à Plaisance. Le Roi de Lahore offre, croyons nous, le premier exemple d'un opera français obtenant une fortune aussi rapide sur les scènes étrangères. Son succès, d'ailleurs, s'accentue chaque jour à ce point de vue, et l'on annonce sa prochaine représentation à Londres d'une part, à Madrid de l'autre. Ceci nous fait souhaiter que l'oeuvre nouvelle à laquelle travaille en ce moment M. Massenet, Herodiade, puisse à son tour voir le jour à l'Opéra lorsque, ce qui ne saurait tarder, la situation de ce théâtre sera enfin régularisée et assurée. Cet ouvrage, dont le poème français est dû à un jeune poète encore inconnu au théâtre, M. Paul Milliet, a eté, on le sait, commandé au compositeur par M. Ricardi, le premier éditeur musical de l'Italie, et est l'objet de tous ses soins; il doit être traduit en italien aussitôt que la partition en sera terminée, pour être représenté au théâtre de la Scala, de Milan. Il nous semblerait fâcheux qu'une œuvre importante do celui qu'on peut appler aujourd'hui le chef de la jeune école française, vît le jour sur un théâtre étranger, avant d'être offerte au public parisien. Nous souhaitous qu'il en soit autrement, et nous pensons que M. Massenet lui-même serait plus désireux que qui que ce soit La Société des Concerts du Conservatoire a exécuté, à ses deux dernières séances, l'œuvic la plus colossale peutêtre et la plus magnifique qui soit sortie du cerveau de Beethoven: la symphonie avec chœurs. L'exécution en a été parfaite, aussi bien au point de vue de l'ensemble que des détails, de la part de l'orchestre et des chœurs, merve lleuse ment stylés par M. Deldevez, et l'effet produit a été vraiment incomparable. Il est impossible de désirer une interprétation plus noble, plus fière, plus précise, plus chaleureuse, plus artistique en un mot, et qui défie davantage la critique. On peut seulement regretter que les soli du finale n'aient pas été à la hauteur de cette splendide exécution, et ici, avec la meilleure volonté du monde, on ne saurait adresser d'éloges sincères qu'à M. Auguez, dont la belle voix de baryton est aidee par un excellent sentiment musical et par un style très-pur. Un fait siguier fe ra tache à la composition de la symphonie avec chœurs, que es Allemands out pris l'habitude de designer aujourd'hui sous ce simple titre : « la neuvième ». Beethoven, on le sait, était très-chan le principal grief articulé). Malgré cela, je fus refusé; on ne fit aucun cas de sa promesse, ce qui l'affligea profondement. Il fallut recommencer mes fonctions de parlementaire, en me rendant le propriétaire, maître serrurier, avec de nouvelles promesses de bonne te nuc. Cette fois, je le trouvai de meilleure volonté; mais exigeait expressément que Beethoven fit remettre, à la fenêtre donnant sur la rue, les contrevents qui y étaient l'année d'avant. Nous cherchious en vain la cause de cette exigence, et ce ne fut qu'après nos observations, que la pose de ces volets priverait le compositeur de la lumière du soleil, si nécessaire à sa faible vue, que le maître serrurier céda. L'emménagement se fit en peu de jours. «Mais quel était le fin mot de cette condition imposée à Beethoven? Le voici : Le maître avait coutume, pendant les quatre années qu'il avait occupé cet ap partement, de se placer à la fenêtre entr'ouverte, pour faire ses réflexions et écrire ses petits calculs sur les volets, si bien que, sur chaque côté, on voyait force boutades musicales et bigarrures diverses tracées au crayon, et que les deux carreaux de bois formaient une espèce de journal. Une famille du nord de l'Allemagne, qui habitait en face de la maison de Beethoven, en 1822, ayant remarqué cette habitude du grand compositeur, acheta, après son départ, un de ces volets pour une pièce d'or, comme curiosité; et le serrurier trouva moyen de vendre ensuite les autres carreaux aux baigneurs étrangers qui visitaient Baden. Il jugea alors que ce commerce pouvait devenir lucratif, et c'est ce qui le porta à demander que de nouveaux volets fussent mis en place, ce qui fit rire beaucoup Beethoven, lorsqu'il eut a pris ces détails par M. T.., l'apothicaire de Baden. » ciété nationale, attendent de vous une Cette adresse, si flatteuse pour le maître Pour en revenir à la symphonie ellemême, Beethoven mit environ huit mois à l'écrire, et elle fut complètement achevée en février 1824. Malheureusement pour le maître, les Viennois étaient alors sous le charme de la musique de Rossini, chantée d'une façon remarquable, au Théâtre-Impérial, par une troupe excellente, et la ville ne voulait pas d'autre musique. Comment songer, avec une telle disposition de l'esprit public, à entreprendre l'exécution de la symphonie avec chœurs et celle de la Messe solennelle, que Beethoven venait aussi de terminer, et qui toutes deux nécessitaient des frais énormes d'orchestre, de chœurs et de copie? Comprenant la situation, le grand homme s'adressa au comte de Brühl, pour lui demander s'il serait possible de faire exécuter ces deux ouvrages à Berlin; le comte lui répondit aussitôt, en lui promettant bon accueil et en se portant fort de la réussite du projet. Mais ce fait s'étant ébruité, un certain nombre de grands personnages et d'artistes de Vienne se réunirent pour former une société musicale, et rédigèrent une adresse qu'ils firent présenter à Beethoven par une députation composée de quelques-uns d'entre eux. Dans cette adresse, on le suppliait en termes chaleureux d'épargner à la capitale de l'Autriche la honte qu'il voulait lui infliger, et de ne pas permettre que les nouveaux chefs-d'œuvre sortissent du lieu de leur naissance avant d'y être appréciés par les nombreux admirateurs de l'art national. Les signataires ajoutaient que, pour eux, la réalisation de l'idéal de l'art était plus qu'un simple passe-temps: selon eux encore, l'admiration des habitants de Vienne pour les chefs-d'œuvre de Mozart et de Haydn n'était pas encore éteinte, et c'était avec un juste orgueil qu'ils considéraient Beethoven comme faisant partie de cette trinité de talents, Puisque, à propos du Conservatoire, symbole de ce qu'il y avait de plus élevé j'ai été amené à parler de M. Deldevez, et de plus ingénieux sur le sol de la paqui tenait encore, il y a un an à peine, trie. Enfin l'airesse se terminait ainsi le bâton de chef d'orchestre à l'Opéra, je « .....Paraissez donc au milieu de vos veux signaler un livre intéressant à diamis, de vos appréciateurs et de vos advers égards qu'il vient de publier sous ce mirateurs! C'est notre instante prière. titre l'Art du chef d'orchestre. Dans cet «Mais on réclame autre chose de votre ordre d'idées, on connaissait déjà deux génie. L'Opéra national et la société mu-écrits importants, dus à deux grands arécrits importants, dus à deux grands arsicale de l'empire d'Autriche ont les yeux tistes: celui de M. Richard Wagner, intournés vers vous. La poésie a fait son titulé: De la direction de l'orchestre, et celui possible pour trouver un sujet digne que Berlioz, sous le titre de Théorie du chef d'être traité par vous. Ne perdez pas une d'orchestre, a placé à la suite de son beau si belle occasion de reparaître sur l'hori- Traité d'instrumentation. M. Deldevez a zon musical. Ne tardez pas à ramener ces voulu à son tour aborder ce sujet, et il l'a jours perdus, où le chant de Polymnie traité avec l'expérience et l'autorité que ravissait les adeptes de l'art sacré et lui a données une longue et conscienprocurait aux esprits nobles des jouis- cieuse pratique de son art. C'est bien sances ineffables. aussi, comme Berlioz, une théorie du chef d'orchestre » qu'a voulu tracer M. Deldevez, c'est-à-dire une sorte de méthode théorique, destinée à l'éducation de ceux qui aspirent à exercer ces fonctions si difficiles et qui réclament des qualités si multiples, si supérieures et si diverses. Dans son Art du violon, notre grand Baillot, qui s'y connaissait, a décrit ainsi le rôle et l'influence du chef d'orchestre: -« Le chef d'orchestre, dit-il, destiné à gouverner les masses, use du moyen le plus sûr pour se faire obéir; il inspire autant d'amour que de respect, autant de confiance que de crainte. Professeur expérimenté, il fait, de chaque répétition, « Devons-nous vous dire combien voire retraite affligeait profondément tous ceux qui avaient les yeux fixés sur vous? Tous voyaient avec tristesse que l'homme de génie placé si haut parmi les vivants gardait le silence lorsqu'un genre de musique étranger cherchait à s'implanter sur la terre allemande, faisait négliger les productions de l'école allemande, et annonçait une seconde enfance pour le goût, après l'âge d'or de l'art allemand. « Vous seul pouvez assurer, par une complète victoire, nos aspirations vers le bien. «L'Opéra allemand, ainsi que la So une leçon générale. Dans l'exécution, occupant le centre du mouvement, il la la dirige d'une main si habile que son mérite reste inaperçu de la multitude: frappée des beautés de l'ensemble, elle ne saurait voir d'où part l'étincelle électrique dont la commotion se fait si fortement ressentir à tous. La responsabilité qui pèse presque toute entière sur le chef d'orchestre n'est point, en général, assez remarquée; le succès d'un ouvrage fait trop souvent oublier celui qui a le plus contribué à sa réussitie. Mais malgré cette apparence d'ingratitude, on finit toujours par lui tenir compte des services qu'il a rendus, et dans les occasions importantes on dans les circonstances difficiles, où l'on sent mieux alors le prix d'un chef habile, il reçoit de nouvelles preuves de confiance qui deviennent pour lui de nouveaux moyens de bien mériter de l'art. » Il est certain que le chef d'orchestre est la cheville ouvrière de toute bonne exécution musicale, qu'il en est à la fois le régulateur et la flamme, que tout le travail de préparation et de direction lui revient; enfin, que la responsabilité entière retombe sur lui. Et l'on se rend compte de l'étendue de cette responsabilité, lorsqu'on songe qu'au théâtre, par exemple, le chef d'orchestre se trouve avoir parfois à guider, à surveiller et à diriger simultanément les chanteurs solistes, l'orchestre, les chœurs, et jusqu'à la danse, qu'il lui faut contenir les uns, exciter les autres, exciter ceux-ci, ramener ceux-là, encourager tout le monde enfin du geste, du regard, quelquefois même de la parole, et donner le feu, l'élan et la vie à une exécution qui, sans lui, resterait froide, morne, sans éclat, sans couleur et sans caractère. On voit combien est prépondérant le rôle du chef d'orchestre. Aussi les artistes véritablement grands en ce genre ont ils toujours été rares. Pour en citer quelques-uns, je rappellerai les noms d'Habeneck, de Valentino, de Berlioz, de Tilmant, pour la France; de Weber, de Mendelssohn, de Spohr, de M. Ferdinand Hiller, pour l'Allemage; de Hanssens, pour la Belgique; de Georges Smart, de MM. Michaël Costa, Julius Benedict, pour l'Angleterre; d'Angelo Mariani, de M. Franco Faccio, pour l'Italie; de MM. Antoine et Nicolas Rubinstein, pour la Russie, etc. Quelques-unes des qualités du chef d'orchestre doivent être naturelles, natives, et celui qui ne les possède pas tout d'abord ne pourra jamais se flatter de les acquérir, et par conséquent de remplir d'une façon supérieure des fonctions si difficiles; d'autres sont le fruit de l'éducation, de l'étude, de la méditation, et un travail intelligent les peut donner à un artiste hien doué. C'est évidemment pour ceux qui sont nés chefsd'orchestre que M. Deldevez a écrit son livre, que ceux-ci le lisent, en effet; ils y trouveront de bons conseils, d'utiles préceptes à suivre, et ils joindron: à leurs facultés naturelles les qualités d'acquis qui ne sont pas moins indispensables. ARTHUR POUGIN. (3* Supplément.) DERNIER COURS Compt. janv. 79 Action de 500 fr., 250 fr. payés..... 750. 745.. 747 50 ... ... ... .. Janv. 79 d. nouv. 250 fr. payés (lib. du verst d. complém. de 300 fr.-droit an divid. de 1879)... do 250 fr. payés (sur versem' complém. de 300 f. payable en 4 ans, 150 fr. paye... 720 Obl. foncières 1,000 fr., 3%, r. 1,200 fr. ... .. ... ... ... Terme. 746 25 fin ct.. en liq.. Pfin c. Pe fin c. Pe fin p. P. fin p. ... .. ... .. ..en liq.. fin ct.. Pe fin ct en liq.. fin ct.. ... .. ... Janv. 79 ΠΟΥ. 78. d. d. CREDIT FONCIER DE FRANCE 475 96 50 ... ... 465 397 50 ... ... ... ... d40 .. ... ... ... : 720 1050 515 517 do 10mes 4% ... r. 100 fr. 104 de 500 fr., 3% do 10me 3%. do 500 fr., 4%, .... r. 600 fr. 535 540 ... .. ... 110 communales, 3% do do communle et départies, 1872,5%. remb. 300 fr., t.p. do 1875,4%, r. 500 fr., t.p. de foncières 1877,3%, remb. 400 fr., d. do oct. 78. févr. 79 ALGÉRIENNE (Soc. gle), (en liquidation), oblig. r. à 150 f.. émises en représento. déc. 78. do do 5%, r. 500 f. (d'annuités dues p. État. nov. 78. CRÉDIT INDUSTRIEL ET COMMER CIAL (Soc. gén. de), a. 500 fr., 125 fr. p. jany. 79 CRÉDIT LYONNAIS, act. 500 fr., 250 f. p. 695 1863...... r. 500 fr. 514 50 .... r. 500 fr. 5mes, 3%, r. 100 fr. 472 .. 470 97.. 96 453 75 an ct.. en liq.. An ct.. Pe fin c. en liq.. 142 50 din ct.. 521 452 50 au 31.. ... ... ..en liq.. ..au 31.. en liq.. 696 25 697 50 au 31.. 695 Pe au 31 ..en liq.. ..jau 31.. : :: ... .. ... .. : ... ::::::12: Versailles (rive gauche), en liquid. Vitré à Fougères, act, 500 fr., t.p. Vitré à Fougères, act. 500 fr., t.p. d10 Vosges (Chem. de fer), a. 500 fr., t.b. d5f Wassy à Saint-Dizier, a. 500 fr., t.p. Soc.gen. Algér. (en lig.),a.500, 250 p. Cie Algérienne, act. 500 fr., t. p.... 405 Annuités départ., titre r. à 200 f., t.p. 100 d10 Lérouville-Sedan (Soc.civ.)r.500,t.p. 506 Nord (Soc. civ. pr rect), r. 500f., t.p. 349 75 347 50 Banque Algérie, a.500 f.,t.p.(ex-c.54) Banque col. Guadeloupe, a.500f.,t.p. Guyane, a. 500 fr., t.p. Martinique, a.500 f., t.p. Réunion, a. 500 f., t.p. Banque ch. d'int. local, a.500 f., 250p. Banque Indo-Chine, a.500 f., 125 f. p. Banque Nouv.-Caléd., a. 500 f., t. p. B. Union Fr. Belge, a. 500 f., 250 f.p. Caisse Lécuyer, actions 500 fr..... Crédit Mob., a. anc.500f..t.p.(ex-c.2) 195 Sous-Coir.Com.et Ind.,a.500 f.,125p. Credit rural de Fr., a. 500 fr., 300 p. de 350 fr. payés.. d10 Sons-Compte des Entrepr. (ex-c. 23). 196 50 Ce Franco-Algér., a. 500 fr., 400 f. p. Guilloteaux. Bouron et Cie, a.500,t.p. Moitossier neveu et Cie, a. 500 f.,t.p. Comptoir Naud, act. nouv. 100 f., t.p. 96 d10 :: janv. 79 CRÉDIT MOBILIER (Soc. de), a.500 f.,t.p. 478 75 477 50 478 75 478 75 au 31. (ex-coup. no 1) ... ... .. Pe au 31 Pau 15 en liq.. Pe au 31 Peau 15 .. Pau.. en liq.. d5f d10 ... d10 478 75 480 478 75 478 75 d10 d10 : 498 75 ..... :: : Pa au 15 Peau 31 en liq.. 591 25 588 75 au 31.. 587 50 ::::: : : : : : ::::::::::2::::::::: ... ... .. ... Pau 15 Peau 31 en liq.. au 31.. Pau 15 Pau 31 en liq.. ::::::: au 31.. 422 50 423 75 Pau 31 ... .. 598 75 550 ... ... 550 ... Peau 15 en lig.. ..au 15... Pau.. en liq.. fin ct.. Pe fin c. en liq.. fin ct.. Pe fin c. ... ... Société Française financière.. Docks et Entr. Havre, a. 1/8000, t.p. Entrepôtslibres, P-L-M., a.500 r.,t.p. Halle aux cuirs, act. 500 fr., t.p.... Halles, Marchés Naples, a. 500 f., t.p. Magasins gén.Bordeaux, a.500 f., t.p. Marchés (Compagén.), a.500 f., t.p. do Temple et St-Hon., a. 500 f., t.p. do Chevaux et Fourr., a. 500 f., t.p. Cie du Parc de Bercy, act. 500 f.,t.p. Cie gén. des Eaux, act. 500 fr., t.p. 1520.. Eaux Banlieue, a. 500 f., t.p.(ex-c.21) do de Vichy, a.1/8000e, t.p.(ex-c.29). Industrie linière (Coir), a. 500f., t.p. Lin Maberly, action 500 fr., t.p.... Pont-Rémy (ex-coup. 22)... Gaz Bordeaux, a. 500 f., t.p. (ex-c.4) Gaz Bordeaux, a. de jouiss. (ex-c.1) Gaz (Cie cle. d'écl. p. le), a. 500 f., t.p. 625 Gaz général de Paris, act. 500 f., t.p. 255 Gaz Marseille, etc., r. 600 f. (ex-c. 36) 650 Gaz Marseille, a. de jouiss. (ex-c. 4). Gaz de Mulhouse, act. 500 fr., p. Gaz (Cie Parisienne), act. de jouiss. 995 Gaz (Union), a.500 f.prior, 1rese,t.p. Ahun (Houillères d'). act. de 1/8000. L'Arborèse, a.500 f., t.p. (en liquid.). L'Aveyron (Soc. nouv.), a. 500 f., t.p.... Belmez houil. et métal.),a.500 f.,t.p. Mines de Béthune, a. de 1/18000e,t.p. Houillères de la Haute-Loire.. Epinac (Mines et Chemins de fer d'). Graigola Merthyr (Cieh.),a.500 f.,t.p. .. ... .. ... .. ... .. ... ... 250 657 50 ... 985 ... .. ... .. ... .. d10 d10 Det. 78. BONE A GUELMA, 9.500 f., t p., c 600 (. (6% garanti par l'Etat). Act. anc., t.p... 585.. 578 75 575 daf d5f ... .. ... .. ... ... ... .. 541 25 in ct.. Mines de la Loire. Pe fin c. en liq.. d5f ... .. ... .. ... d10 Mines de Montrambert... ... ... Mines de Rive-de-Gier.. fin ct.. 713 75 Mines de Saint-Étienne... ... P. fin c. 1150 en liq.. an ct.. 1150 P. fin c. en liq.. Mines Malfidano, act. de jouissance. Mines Malfidano, act. 500 fr., t.p... 568 75 Mines Mokta-el-Hadid, a. 500 f., t.p Mines Mokta-el-Hadid,a.500f.,400 p.1395.. ... Mines Soumah,a.500f.,425 p.(en liq.) 865 fin ct... 865 P. fin c. en liq.. Mines de Santander et Quiros...... St-Elie (Gisem. d'or de), a. 500 f.,t.p. 590 Vallenar (min. arg.), a. 500 f., 250 p. Alais (Forges et Fonderies d'). .. 96 Pe fin c. 420 d10 ... Cail et Cie (Soc. nouv.). a. 500 fr.,.p. 370 Châtillon et Commentry (Forges de). Fives-Lille, act. 500 fr., t.p.... ... d10 Hauts-fourn., de la Mar.,a.500f.,t.p. Liverdun (Forges de), a. 500 fr., t.p. Océan (Chant. et Atel.), a. 500 f., t.p. Bateaux omnibus, act. 500 fr., t.p...... Chargeurs réun.(Cie fr.), a.500f.,t.p. 1223 1453 75 an et.. 1455 .... 1225 en liq.. Pin c. ..en liq.. au 31.. en liq.. 786 25 fin ct.. 490 P. fin c. en liq.. fin ct.. en liq.. au 31.. en liq.. au 31.. 593 75 Pe au 31 ... ... ... ... .. ... nov. 78. DOCKS ET ENTREPOTS MARSEILLE, act. 500 fr., tout payé (ex-coup. no 10).. 595 bav. 79 ENTREPOTS ET MAGASINS GÉNÉR. DE PARIS, a. 1/31000, t.p. (ex-c. n°7). 475 vril 75 ALLUMETTES CHIMIQUES (Cie génér des), action de 500 fr., 325 fr. payés... 320 1.38. COMPAGNIE PARISIENNE DU GAZ, action de 250 fr., tout payé........ : : 317 50 318 75320 1292 50 1285 d20 ... d10 Cie génér. des Omnibus, a. 500 f., t.p. 1350..194875 Cie génér. des Omnibus, a. de jouiss. 925 Voitures à Paris, act. de jouisse.145 Touage Be Seine et Oise, a.500.p.......... Touage de Conflans, act. 500 fr., t.p. Transports maritimes, a. 500 fr., t.p. Valery (Cie marit.), act. 500 fr., t.p. d10 Société Chameroy, a. 500 fr., t.p... d10 Deux-Cirques, act. 200 fr., t. p.... 272 5. d10 Etablissements Duval, a. 500 fr., t.p. 855 Etablissem. Maletra, a. 500 fr., t.p. ... · ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... .. ... .. ... en liq.. an 31.. Pau 15 d10 Le Figaro, a. 62 f. 50, t.p. (ex-s.1). 655 |