Bibliotheque des mémoires relatifs a l'histoire de France, 19. köideFirmin-Didot, 1859 |
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... Fitz - Herbert , aujourd'hui lord Saint - Hélens , joignait à la mélancolie d'une âme sensible et aux distractions singulières d'un caractère vraiment britannique tous les charmes de l'es- prit le plus orné . Négociateur habile et fin ...
... Fitz - Herbert , aujourd'hui lord Saint - Hélens , joignait à la mélancolie d'une âme sensible et aux distractions singulières d'un caractère vraiment britannique tous les charmes de l'es- prit le plus orné . Négociateur habile et fin ...
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... Fitz - Herbert . Une très - jolie et très - aimable dame de Paris m'avait prié de lui remettre une lettre ; je choisis ce moment pour m'acquitter de mon galant message . Au nom de la dame , il prit avec vivacité la lettre et s'éloigna ...
... Fitz - Herbert . Une très - jolie et très - aimable dame de Paris m'avait prié de lui remettre une lettre ; je choisis ce moment pour m'acquitter de mon galant message . Au nom de la dame , il prit avec vivacité la lettre et s'éloigna ...
Page 358
... Fitz - Herbert , de même que pour les voyageurs et les négociants de leurs nations . Ces obstacles ne me découragèrent point . On m'avait fait connaître à fond le caractère , les qualités et les défauts de ce ministre ; j'essayai de ...
... Fitz - Herbert , de même que pour les voyageurs et les négociants de leurs nations . Ces obstacles ne me découragèrent point . On m'avait fait connaître à fond le caractère , les qualités et les défauts de ce ministre ; j'essayai de ...
Page 359
... Fitz - Herbert et Cobentzel seuls étaient admis dans son intimité . Le ministre anglais , accoutumé par les usages de son pays à ne jamais s'étonner de l'originalité , ne contrariait point les habitudes du prince ; mais en même temps il ...
... Fitz - Herbert et Cobentzel seuls étaient admis dans son intimité . Le ministre anglais , accoutumé par les usages de son pays à ne jamais s'étonner de l'originalité , ne contrariait point les habitudes du prince ; mais en même temps il ...
Page 365
... Fitz - Herbert . Je ne tardai pas à éprouver l'effet de ce changement de dis- positions , d'abord pour quelques petites affaires , et ensuite pour de beaucoup plus importantes , Quelque temps avant mon arrivée en Russie , trois Français ...
... Fitz - Herbert . Je ne tardai pas à éprouver l'effet de ce changement de dis- positions , d'abord pour quelques petites affaires , et ensuite pour de beaucoup plus importantes , Quelque temps avant mon arrivée en Russie , trois Français ...
Common terms and phrases
affaires aimable Alexandre de Lameth Américains Anglais armée armes arriver assez avaient baron de Vioménil bientôt brillante c'était camp Catherine cause charme colonel combat commandait commerce comte comte d'Estaing comte de Bruce cour courtisans croyait devait donner enfin ennemis esprit étions faisait faveur femme Fitz-Herbert force fortune frégate général gloire gouvernement guerre hommes j'avais j'étais jeune jeunesse jour l'armée l'esprit l'Europe l'impératrice laisser Lauzun liberté Louis XV Louis XVI m'avait madame madame de Polignac maison Majesté Maurepas ment mer Noire militaire mille ministre mœurs monarque Monsieur montrait n'était Nassau négociants noble noblesse nommé officiers ordre parler pays père personne Pétersbourg peuple philosophie plaisir politique Pologne porte pouvait premier presque prince Potemkin princesse promptement puissance qu'un régiment de Soissonnais règne reine reste Rochambeau Russie s'était Ségur semblait sentiments serait seul société sorte souveraine succès tion triomphe trouvait Turcs vaisseau Vergennes vicomte de Ségur vîmes vive Voltaire voulait voyage
Popular passages
Page 343 - Le comte sort, exécute l'ordre, revient et trouve, avec surprise, Catherine riant aux éclats. « Je vois à présent, dit-elle, la cause d'une scène aussi burlesque qu'inconcevable : j'avais, depuis quelques années, un joli chien que j'aimais beaucoup, et je lui avais donné le nom de Suderland, parce que c'était celui d'un Anglais qui m'en avait fait présent. Ce chien vient de mourir : j'ai ordonné à...
Page 17 - ... et ridicule. La gravité des anciennes doctrines nous pesait. La philosophie riante de Voltaire nous entraînait en nous amusant. Sans approfondir celle des écrivains plus graves, nous l'admirions comme empreinte de courage et de résistance au pouvoir arbitraire.
Page 119 - ... accourait pour le voir, assiégeait sa porte, l'entourait dès qu'il sortait et laissait à peine à ses chevaux la possibilité de s'ouvrir un passage. Son couronnement eut lieu au palais des Tuileries, dans la salle du Théâtre-Français. On ne peut peindre l'ivresse avec laquelle cet illustre vieillard fut accueilli par un public qui remplissait à flots pressés tous les bancs, toutes les loges, tous les corridors, toutes les issues de cette enceinte.
Page 92 - repris-je , c'est un étrange bonheur et pour lequel il y au« rait de quoi se pendre. — Tu te trompes , mon cher, répli« qua-t-il ; tant que je n'ai été que dérangé, je me voyais accablé « d'affaires, persécuté, ballotté entre la crainte, et l'espérance ; « aujourd'hui que je suis ruiné, je me trouve indépendant. « tranquille, délivré de toute inquiétude et de tous soucis. » A l'époque où , par l'effet d'une civilisation concentrée , les règles de ce qu'on appelait alors...
Page 177 - Ces jeunes personnes, ajoutait-elle, auxquelles je vous laisse offrir vos hommages, s'étant exercées à plaire, seront un jour plus aimables pour leurs maris, et celles qui se consacreront à la vie religieuse, ayant exercé la sensibilité de leur âme et la chaleur de leur imagination, aimeront bien plus tendrement la Divinité. D'une autre part...
Page 278 - Et l'Autriche, qu'en dirons-nous? Elle possède les Pays-Bas, qui sont pourtant séparés d'elle par l'Allemagne, tandis qu'elle est tout près de la Bavière qui ne lui appartient pas. Entendez-vous? Comprenez-vous? Vous retrouvez cette Autriche au milieu de l'Italie; mais comme c'est loin de son cadre! comme Venise et le Piémont le rempliraient bien! « Allons, je crois pour une fois en avoir dit assez. Entendez-vous ? Comprenez-vous?
Page 97 - ... l'instant même où l'on parlait en républicain et où l'on prêchait l'égalité. Jamais il n'y eut à la cour plus de magnificence , de vanité , et moins de pouvoir. On frondait les puissances de Versailles , et on faisait sa cour à celles de l'Encyclopédie. Nous préférions un mot d'éloge de d'Alembert , de Diderot, à la faveur la plus signalée d'un prince.
Page 44 - ... ou par oisiveté. Aucune perspective d'avancement ne leur était offerte, et rien n'était plus rare que de voir des soldats ou des sous-officiers devenir officiers. Le petit nombre de ceux que le hasard élevait ainsi n'y arrivait qu'après de longues années de service. Le nom qu'on leur donnait indiquait assez la rareté de ces chances favorables : on les appelait officiers de fortune. Les nobles seuls avaient le droit d'entrer au service comme sous-lieutenants.
Page 443 - Ce fut en faisant allusion à cette anecdote que l'impératrice écrivit à Voltaire : « M. de » La Rivière est venu ici pour nous législater. » Il nous supposait marcher à quatre pattes, » et très poliment il s'était donné la peine de » venir de la Martinique pour nous dresser sur
Page 343 - Reliew a perdu la tête. Comte, partez, courez et ordonnez à cet insensé d'aller tout de suite délivrer mon pauvre banquier de ses folles terreurs et de le mettre en liberté.