La pièce du jeune poète de quinze ans se terminait par ces vers : Moi, qui toujours fuyant les cités et les cours, De trois, lustres à peine ai vu finir le cours. the new monthly magazine - Page 476by william harrison ainsworth - 1863Full view - About this book
| Hugo - 1863 - 380 lehte
...mort? Si le Ciel, me lançant sur le torrent du monde, Livre mon frêle esquif à la merci de l'onde, Moi qui, toujours fuyant les cités et les cours, De trois lustres à peine ai vu finir le cours, Qui pourra me guider? Quelle main courageuse Dirigera ma nef sur la mer orageuse? Étude, tes leçons... | |
| Adèle Hugo - 1863 - 436 lehte
...mort? Si le ciel, me lançant sur le torrent du monde, Livre mon frêle esquif à la merci de l'onde, Moi qui, toujours fuyant les cités et les cours. De trois lustres à peine ai vu finir le cours, Qui pourra me guider? Quelle main courageuse Dirigera ma nef sur la mer orageuse? Étude, tes lecons... | |
| Adèle Hugo, Victor Hugo - 1863 - 382 lehte
...âge. Le rapport disait : « L'auteur dit dans son ouvrage qu'il est âgé seulement de quinze ans : Moi qui, toujours fuyant les cités et les cours, De trois lustres à peine ai vu finir le cours. Si véritablement il n'a que cet âge, etc. » Dans ce temps-là, une mention à l'Académie était... | |
| Edmond Biré - 1864 - 448 lehte
...portant pour épigraphe ce vers d'Ovide : Et mihijàm puero cœlestia sacra placebant, débutait ainsi : Moi qui, toujours fuyant les cités et les cours, De trois lustres à peine ai vu finir le cours. « Si véritablement il n'a que cet âge, disait M. Ray* La date exacte est 1768. nouard dans son rapport... | |
| Alexandre Dumas - 1867 - 330 lehte
...âge, il le disait dans le courant même de sa pièce de vers: Moi qui, toujours fuyant les citi's et les cours, De trois lustres à peine ai vu finir le cours. Voyez-vous ce futur philosophe qui, à quatorze ans, avait fui les cités et les cours ! ... C'est... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1870 - 538 lehte
...Loyson y débutèrent également. La pièce du jeune poète de quinze ans se terminait par ces vers : Moi, qui toujours fuyant les cités et les cours, De trois lustres à peine ai vu finir le cours. Elle parut si remarquable aux juges, qu'ils ne purent croire à ces trois lustres, à ces quinze ans... | |
| Daniel Bonnefon - 1880 - 512 lehte
...au jeune Victor de concourir. Sa pièce se terminait par les vers suivants qui accusaient son âge : Moi qui, toujours fuyant les cités et les cours De trois lustres à peine ai TU finir le cours. L'Académie, frappée de la beauté de la pièce, ne put, dit-on, prendre cette... | |
| Henri Bué - 1884 - 232 lehte
...déposé, pendant une promenade, sur le bureau de l'Académie Française, le concurrent parlait de son Moi qui, toujours fuyant les cités et les cours, De trois lustres à peine ai vu finir le cours . . . Avec une adorable et enfantine naïveté ce futur philosophe se vantait d'avoir fui les cités... | |
| Henri Bué - 1884 - 280 lehte
...pendant une promenade, sur le bureau de l'Académie Française, le concurrent parlait de son âge: Moi qui, toujours fuyant les cités et les cours, De trois lustres à peine ai vu finir le cours . . . Avec une adorable et enfantine naïveté ce futur philosophe se vantait d'avoir fui les cités... | |
| Victor Hugo - 1885 - 444 lehte
...âge. Le rapport disait : « L'auteur dit dans son ouvrage qu'il est ûgé seulement de quinze ans : Moi qui, toujours fuyant les cités et les cours, De trois lustres à peine ai vu finir le cours. Si véritablement il n'a que cet âge, etc. » Dans ce temps-là, une mention à l'académie était... | |
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