| 1924 - 998 lehte
...allusion faite par l'épigraphe au jeune âge du concurrent se précisait dans les vers eux-mêmes : Moi qui, toujours fuyant les cités et les cours, De trois lustres à peine ai vu finir le cours. Les prix furent décernés le 25 août, sur un rapport du secrétaire perpétuel Raynouard, alors célèbre... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1926 - 348 lehte
...Loyson y débutèrent également. La pièce du jeune poète de quinze ans se terminait par ces vers : Moi qui toujours fuyant les cités et les cours, De trois lustres à peine ai vu finir le cours. Elle parut si remarquable aux juges, qu'ils ne purent croire à ces trois lustres, à ces quinze ans... | |
| 1882 - 1164 lehte
...l'étude, qui obtint une mention. La pièce du jeune poêle de quinze ans se terminait par ces vers : Moi qui, toujours fuyant les cités et les cours, De trois lustres à peine ai vu finir le cours. • Elle parut si remarquable aux juges, qu'ils ne purent croire à ce trois lustres, à ces quinze... | |
| 1921 - 1120 lehte
...bonheur que procure l'étude dans toutes les situations de la vie ». Son poème contenait ces deux vers: Moi qui toujours fuyant les cités et les cours De trois lustres à peine ai vu finir le courRaynouard, chargé par l'Académie du rapport, disait à ce propos: « Si véritablement il n'a... | |
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